vide.

   J'ai recommencé à écrire depuis quelque jours, si
cela pouvait durer. Je ne suis pas tout à fait aussi bien protégé
par mon travail, aussi bien blotti en lui que je l'étais il y a
deux ans, mais il me confère tout de même un sens; ma vie
régulière, vide, démente, ma vie de vieux garçon trouve là
sa justification. Je suis capable de reprendre le dialogue avec
moi-même et mon regard n'est plus fixé sur le vide totale. Il
n'existe d'amélioration possible pour moi que dans cette
voie.

j k, journal

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